La maudite. Dans le parcours du marathon de Montréal, elle arrive 2 km avant l'arrivée. Peu importe la distance, 5km, 10km, demi-marathon, marathon, on passe tous par là. Ce qui est embêtant de la côte Pie-IX c'est qu'elle n'a pas l'air d'une côte. C'est une élévation douce et graduelle qui monte sur un peu plus d'un kilomètre. Elle arrive à un moment où l'on est fatiguée et quand on la grimpe, on a l'impression qu'elle ne finira jamais... sauf si on l'apprivoise.

Ça m'a fait du bien de faire la Pie-IX et la fin du parcours du marathon de Montréal. De l'enseigner à mes jambes. De les connaître mieux. Ça me donne de la confiance pour le 10 km du marathon de Montréal auquel je participerai en fin de saison. Le parcours ne change pas cette année. On rentre tous comme des champions olympiques dans le stade.
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